J’animerai ce mercredi sur Radio-Courtoisie, de 18 h à 21 h, l’émission de la réplique dans le cadre du libre journal de la résistance. Seront avec moi Jeanne Smits, Louis Chagnon et Pierre Henri.
Nous traiterons notamment de la question du retrait de la nationalité pour crimes et délits. On peut approuver cela dans le contexte actuel où la nationalité ne signifie pour des gens comme Houria Bouteldja que la possession de « papiers » français. Mais dans un ordre normal des choses, la « nationalité » c’est un héritage, c’est l’appartenance à une communauté historique de destin. C’est en effet dans son principe le droit du sang mais aussi, bien sûr, du sang versé, du service rendu. Et le principe aussi, c’est qu’entre deux nationalités, il faut choisir ! On ne saurait demeurer français lorsque l’on brûle le drapeau de notre patrie. On ne saurait le demeurer lorsque l’on fait son service militaire dans un autre pays.
Les sympathies se comprennent, la double allégeance, non.