jeudi 10 juin 2010

Le Figaro ridiculisé

On a appris ce matin la victoire considérable des « populistes » aux élections législatives des Pays-Bas.

Le Figaro avait consacré hier presque toute sa page 7 à son pronostic électoral. Un premier article était ainsi titré : « Le VVD (libéraux) de Mark Rutte fait oublier les diatribes de l’extrême droite » (sic). Le second article, du même rédacteur, Thierry Portes, était ainsi surmonté : « A Almere, le populiste Geert Wilders a perdu de sa superbe ». Ce jour Thierry Portes s’en tient à commenter un sondage sorti des urnes et annonce les scores des libéraux et des travaillistes (31 sièges) sans mentionner les 24 sièges populistes, soit le double de la dernière fois !

Manifestement Thierry Portes, au mépris de tout professionnalisme, a exhalé sans nuances son animosité contre « l’extrême droite » et prophétisé ses désirs que la réalité a démentis. La vérité c’est qu’il s’est ainsi ridiculisé. Dans certains magazines, on le mettrait dans la rubrique « à la baisse ». Et pourquoi pas « à la porte » ?

Livre de réplique à Houria Bouteldja

Oui, bien sûr, après sa mise en examen, le procès d’Houria Bouteldja viendra devant le tribunal correctionnel de Toulouse. En attendant, je viens d’écrire un petit livre où j’analyse les propos racistes de cette dame et où je lui offre de quoi compléter son éducation historique. On y trouvera l’exposé appuyé sur les meilleurs ouvrages des historiens spécialistes de ce qu’a été l’esclavage arabo-turco-musulman depuis Mahomet jusqu’à nos jours. Ce sera à lire sans modération et à faire lire encore plus pour boucher les trous de mémoire sans cesse élargis par la pudibonderie idéologique du politiquement correct.

Au revoir et à bientôt

Pendant un peu plus d’une quinzaine de jours, je vais m’extraire de l’actualité politique et médiatique. Yann Baly et Louis Chagnon alimenteront ce blog avec toute la pertinence, la compétence et l’humour qu’on leur connaît. En principe je serai de retour le 28 juin.

Qu’on se rassure je ne vais pas à Johannesbourg assister aux grands jeux, d’ailleurs très risqués, du galimatias du sport, du fric, de la violence et de l’idéologie.