Communiqué de Bernard Antony, Président de Chrétienté-Solidarité.
M. Besson vient de déclarer aujourd’hui, 8 février 2010, que les nouveaux arrivés en France ne devaient pas se formaliser des paroles de La Marseillaise : « Qu’un sang impur abreuve nos sillons ! ». Selon lui, ces paroles ne visaient pas les étrangers (comment alors comprendre « qui viennent jusque dans nos campagnes égorger nos fils et nos compagnes » ?) mais les Français contre-révolutionnaires à éliminer. Le nullissime Besson énonce certes là un grossier mensonge d’un pitoyable révisionnisme. Car La Marseillaise visait bien à stimuler les ardeurs des soldats de la république de Valmy contre les menaces des ennemis autrichiens et autres. Mais passons !
« Le sang impur » était donc, selon lui, celui des Français que la Révolution se devait d’exterminer : la Révolution a en effet massacré, ignoblement, le Roi Louis XVI, la reine Marie-Antoinette et le petit Dauphin, Louis XVII.
Elle a exterminé par milliers les prêtres catholiques refusant la désobéissance au pape, et elle les a envoyés mourir de soif et de faim dans l’atrocité noire des pontons, où ils ne pouvaient même pas se tenir debout.
Elle a guillotiné à Paris 90.000 Français dont une immense majorité d’ouvriers et d’artisans attachés à leurs anciennes libertés. Elle a exterminé des centaines de milliers de paysans vendéens et de Bretons, accomplissant ainsi le premier populicide de l’histoire moderne, modèle de ceux de Lénine, des Jeunes-Turcs, de Staline et d’Hitler, de Mao et de Pol-Pot.
Avec Carrier, elle a organisé les noyades de Nantes, avec le général Westerman et avec les colonnes infernales de Turreau de Garambouville elle a inventé les tanneries de peau humaine, les femmes et les enfants jetés dans les fours de boulanger. Elle a déporté les populations des villages basques suspects de tiédeur républicaine (Ainhoa, Ascain, Sare, etc…)
Elle a dans le Vaucluse mis à mort atrocement des milliers de catholiques (et les religieuses de Bollène). Avec Kellermann e+lle a massacré les ouvriers de Lyon. Et pas plus que le crime d’Oradour en Limousin perpétré par les SS, je n’oublie les huit cent femmes et enfants brûlés dans l’église du village des Lucs en Vendée.
On sait bien, il en a fait suffisamment la preuve, on le dit aussi bien au Parti socialiste qu’à l’UMP, que M. Besson est un affligeant personnage, indécent baratineur inculte de troisième catégorie chez les vendeurs de cravates. Mais sa médiocrité n’excuse pas le fait qu’il est ministre et qu’à ce titre il parle et engage le gouvernement et le président qui l’a porté à ce poste.
Ainsi, proclame par sa bouche le gouvernement Sarkozy, « le sang impur » dans La Marseillaise était un sang français, un sang d’enfants, de femmes, de prêtres et de rois, d’ouvriers et de paysans.
M. Besson choisit donc de justifier l’horreur de la guerre civile, et de ce sang selon lui « impur », ce sang de tant d’innocents et ce sang de tant de saints. Et, tout simplement, ce sang de tant d’hommes ! Et comme si le sang versé dans les guerres civiles pouvait être un sang impur ! M. Besson a révélé là son funeste fond d’idéologue sans-culotte, bolchévique, Jeune-Turc ou nazi.
Désormais, et tant que l’on n’aura pas remplacé « sang impur » par d’autres paroles, je ne chanterai pas La Marseillaise.
M. Besson vient de déclarer aujourd’hui, 8 février 2010, que les nouveaux arrivés en France ne devaient pas se formaliser des paroles de La Marseillaise : « Qu’un sang impur abreuve nos sillons ! ». Selon lui, ces paroles ne visaient pas les étrangers (comment alors comprendre « qui viennent jusque dans nos campagnes égorger nos fils et nos compagnes » ?) mais les Français contre-révolutionnaires à éliminer. Le nullissime Besson énonce certes là un grossier mensonge d’un pitoyable révisionnisme. Car La Marseillaise visait bien à stimuler les ardeurs des soldats de la république de Valmy contre les menaces des ennemis autrichiens et autres. Mais passons !
« Le sang impur » était donc, selon lui, celui des Français que la Révolution se devait d’exterminer : la Révolution a en effet massacré, ignoblement, le Roi Louis XVI, la reine Marie-Antoinette et le petit Dauphin, Louis XVII.
Elle a exterminé par milliers les prêtres catholiques refusant la désobéissance au pape, et elle les a envoyés mourir de soif et de faim dans l’atrocité noire des pontons, où ils ne pouvaient même pas se tenir debout.
Elle a guillotiné à Paris 90.000 Français dont une immense majorité d’ouvriers et d’artisans attachés à leurs anciennes libertés. Elle a exterminé des centaines de milliers de paysans vendéens et de Bretons, accomplissant ainsi le premier populicide de l’histoire moderne, modèle de ceux de Lénine, des Jeunes-Turcs, de Staline et d’Hitler, de Mao et de Pol-Pot.
Avec Carrier, elle a organisé les noyades de Nantes, avec le général Westerman et avec les colonnes infernales de Turreau de Garambouville elle a inventé les tanneries de peau humaine, les femmes et les enfants jetés dans les fours de boulanger. Elle a déporté les populations des villages basques suspects de tiédeur républicaine (Ainhoa, Ascain, Sare, etc…)
Elle a dans le Vaucluse mis à mort atrocement des milliers de catholiques (et les religieuses de Bollène). Avec Kellermann e+lle a massacré les ouvriers de Lyon. Et pas plus que le crime d’Oradour en Limousin perpétré par les SS, je n’oublie les huit cent femmes et enfants brûlés dans l’église du village des Lucs en Vendée.
On sait bien, il en a fait suffisamment la preuve, on le dit aussi bien au Parti socialiste qu’à l’UMP, que M. Besson est un affligeant personnage, indécent baratineur inculte de troisième catégorie chez les vendeurs de cravates. Mais sa médiocrité n’excuse pas le fait qu’il est ministre et qu’à ce titre il parle et engage le gouvernement et le président qui l’a porté à ce poste.
Ainsi, proclame par sa bouche le gouvernement Sarkozy, « le sang impur » dans La Marseillaise était un sang français, un sang d’enfants, de femmes, de prêtres et de rois, d’ouvriers et de paysans.
M. Besson choisit donc de justifier l’horreur de la guerre civile, et de ce sang selon lui « impur », ce sang de tant d’innocents et ce sang de tant de saints. Et, tout simplement, ce sang de tant d’hommes ! Et comme si le sang versé dans les guerres civiles pouvait être un sang impur ! M. Besson a révélé là son funeste fond d’idéologue sans-culotte, bolchévique, Jeune-Turc ou nazi.
Désormais, et tant que l’on n’aura pas remplacé « sang impur » par d’autres paroles, je ne chanterai pas La Marseillaise.