Dans un très amical entretien téléphonique avec Philippe Maxence, rédacteur en chef, j’exprime à ce dernier combien je n’attaque nullement son périodique que je lis toujours avec attention (la preuve !) et avec amitié.
Il reconnaît une fâcheuse bévue et me propose de publier une réaction rédigée avec 4500 signes. Il est certes difficile de traiter aussi courtement un tel amas de contre-vérités et de divagations. Je m’y efforce, espérant qu’il acceptera un petit dépassement.
Quoi qu’il en soit, le sujet est d’importance et j’y reviendrai car il s’agit de toute la question de ce que l’on appelle le « dialogue islamo-chrétien » qui présente tant d’analogie avec le dialogue christiano-marxiste de jadis.
On y retrouve de semblables partenaires : d’un côté des professionnels de la dialectique, de l’infiltration et de la manipulation, des l’autre des chrétiens le plus souvent naïfs, fréquemment non formés voire incultes et aussi toute la gamme des « compagnons de route » allant des imbéciles aux traîtres.
Il reconnaît une fâcheuse bévue et me propose de publier une réaction rédigée avec 4500 signes. Il est certes difficile de traiter aussi courtement un tel amas de contre-vérités et de divagations. Je m’y efforce, espérant qu’il acceptera un petit dépassement.
Quoi qu’il en soit, le sujet est d’importance et j’y reviendrai car il s’agit de toute la question de ce que l’on appelle le « dialogue islamo-chrétien » qui présente tant d’analogie avec le dialogue christiano-marxiste de jadis.
On y retrouve de semblables partenaires : d’un côté des professionnels de la dialectique, de l’infiltration et de la manipulation, des l’autre des chrétiens le plus souvent naïfs, fréquemment non formés voire incultes et aussi toute la gamme des « compagnons de route » allant des imbéciles aux traîtres.