mercredi 12 août 2009

Itsy bitsy petit burquini...

Carole, une mère de famille convertie à l’islam à 17 ans, s’est vue refuser l’accès à une piscine de Seine et Marne parce qu’elle portait le burquini, maillot de bain islamique (sic).
Cet ensemble composé d’un voile, d’une tunique et d’un pantalon a été inventé, il y a quelques années, par une libanaise résidant en Australie. Hormis le voile, la coupe des modèles les plus osés fait penser aux combinaisons acryliques de la sémillante Diana Rigg dans la série Chapeau Melon et Bottes de Cuir. Pour la plupart des autres modèles, cela donne plutôt dans le genre combinaison de technicien nucléaire russe des annés 80.
Cette tenue sert de prétexte pour affirmer la présence de plus en plus pressente de l’islam en France et en Europe.
Outre que du point de vue de l’hygiène, ce survêtement islamique n’est pas des plus judicieux dans une piscine, cette affaire est surtout symptomatique de l’état d’une France qui s’islamise et ne semble pas comprendre ce qui lui arrive.
Evidemment, Carole a déposé plainte et saisi le MRAP. « C’est de la ségrégation » déclare-t-elle avant de menacer « de quitter la France » si elle n’avait pas gain de cause. Ce serait une solution raisonnable qui lui permettrait de vivre en toute liberté sa nouvelle croyance dans un pays comme l’Arabie Saoudite, par exemple, où elle pourrait rencontrer des immigrés chrétiens qui lui feraient part de leur propre expérience dans ce pays de grande tolérance.

Yann Baly