Sur France-Inter ce matin s’exprimait un porte-parole de la Licra ( Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme ) pour condamner avec véhémence la conférence des Nations-Unies sur le racisme qui s’ouvre aujourd’hui à Genève.
De même qu’à Durban en 2001, on s’attend en effet à la vigoureuse dénonciation par les pays musulmans, l’Iran en tête, du racisme sioniste et de l’attitude d’Israël contre les Palestiniens.
Le porte-parole de la Licra opposait à cela l’abomination des Etats musulmans où l’on applique la charia, où la femme ne bénéficie pas du principe d’égalité avec l’homme, où l’on lapide les femmes adultères. Toutes choses exactes et en effet à dénoncer.
Mais il faut vraiment, pour tenir de pareils propos, que d’aucuns qualifieraient d’islamophobes, que ce penseur licratique n’ait pas le moindre sens du ridicule de sa position.
La charia, ce n’est pas en effet autre chose que la loi de l’islam, appliquée certes avec plus ou moins de rigueur dans les différents pays musulmans. Et la conception du rôle et du statut inégalitaire de la femme, c’est ni plus ni moins celle de tout l’islam, découlant du Coran et des Hadith et de la Charia qui en est issue. Certes bien sûr on applique selon les pays, l’exigence de plus ou moins de voiles ou de plus ou moins de relégation.
Or c’est bien l’implantation de l’islam en France, que sous le prétexte de l’antiracisme, la Licra n’a cessé de favoriser. Et avec elle nombre de ces incroyables « intellectuels » juifs si fanatiquement immigrationnistes pour la France et l’Europe, et si farouchement nationalistes pour Israël. À tel point que l’on pourrait se demander si quelques-uns n’auraient pas en tête de faire de nos pays la terre d’accueil des Palestiniens ?
On le vérifie sans cesse, l’antiracisme est vraiment à géométrie variable et l’imputation de racisme est lourde de réciprocité.
Mais, n’en doutons pas, la Licra continuera à soutenir l’implantation de l’islam en France, avec ses mosquées où certes on ne peut faire autre chose que d’étudier le Coran, les Hadith et la charia. C’est bien beau de dénoncer l’Iran mais dans ce cas, comment accepter chez nous le Hezbollah et le Hamas ?
LA SOURCILLEUSE MORALE ISLAMIQUE.
En Iran cependant, on vient de condamner à huit ans de prison une « reporter » indépendante de double nationalité irano-américaine, Roxana Saberi, d’abord arrêtée pour l’achat d’une bouteille de vin puis accusée d’espionnage.
On mesure encore sur ce fait l’ignominie du totalitarisme islamique quand on sait que si les boissons alcoolisées sont légalement interdites en Iran, il s’en consomme en fait d’énormes quantités selon un système alliant l’hypocrisie et la corruption généralisée des vertueux Gardiens de la révolution.
Certes l’hypocrisie n’est pas l’apanage des pays d’islam mais elle y prend une fantastique dimension sociologique.
Ainsi, dans tous les grands hôtels du Liban en été, la présence massive des riches Saoudiens et Koweitis venus chercher la fraîcheur de la montagne, explique-t-elle l’énorme consommation, en cette période, de champagnes, whiskys et vodkas.Il en est de même, on le sait, dans les grands palaces européens, et dans les grands hôtels des casinos.
Quant à la lapidation légale des femmes adultères ( justifiée par les frères Ramadan ) elle va de pair en pays chiites avec la pratique du mariage dit « temporaire » accordé moyennant « backchich » par le mollah du quartier, permettant ainsi une rencontre sans danger.
Nous ne sommes donc pas de ceux qui ont fêté à l’ambassade d’Iran le trentième anniversaire de la sanglante révolution iranienne. On lira sur ce point dans le prochain numéro de Reconquête l’entretien de Cécile Montmirail avec notre ami Houchang Nahavandi, ancien ministre du Shah d’Iran.
De même qu’à Durban en 2001, on s’attend en effet à la vigoureuse dénonciation par les pays musulmans, l’Iran en tête, du racisme sioniste et de l’attitude d’Israël contre les Palestiniens.
Le porte-parole de la Licra opposait à cela l’abomination des Etats musulmans où l’on applique la charia, où la femme ne bénéficie pas du principe d’égalité avec l’homme, où l’on lapide les femmes adultères. Toutes choses exactes et en effet à dénoncer.
Mais il faut vraiment, pour tenir de pareils propos, que d’aucuns qualifieraient d’islamophobes, que ce penseur licratique n’ait pas le moindre sens du ridicule de sa position.
La charia, ce n’est pas en effet autre chose que la loi de l’islam, appliquée certes avec plus ou moins de rigueur dans les différents pays musulmans. Et la conception du rôle et du statut inégalitaire de la femme, c’est ni plus ni moins celle de tout l’islam, découlant du Coran et des Hadith et de la Charia qui en est issue. Certes bien sûr on applique selon les pays, l’exigence de plus ou moins de voiles ou de plus ou moins de relégation.
Or c’est bien l’implantation de l’islam en France, que sous le prétexte de l’antiracisme, la Licra n’a cessé de favoriser. Et avec elle nombre de ces incroyables « intellectuels » juifs si fanatiquement immigrationnistes pour la France et l’Europe, et si farouchement nationalistes pour Israël. À tel point que l’on pourrait se demander si quelques-uns n’auraient pas en tête de faire de nos pays la terre d’accueil des Palestiniens ?
On le vérifie sans cesse, l’antiracisme est vraiment à géométrie variable et l’imputation de racisme est lourde de réciprocité.
Mais, n’en doutons pas, la Licra continuera à soutenir l’implantation de l’islam en France, avec ses mosquées où certes on ne peut faire autre chose que d’étudier le Coran, les Hadith et la charia. C’est bien beau de dénoncer l’Iran mais dans ce cas, comment accepter chez nous le Hezbollah et le Hamas ?
LA SOURCILLEUSE MORALE ISLAMIQUE.
En Iran cependant, on vient de condamner à huit ans de prison une « reporter » indépendante de double nationalité irano-américaine, Roxana Saberi, d’abord arrêtée pour l’achat d’une bouteille de vin puis accusée d’espionnage.
On mesure encore sur ce fait l’ignominie du totalitarisme islamique quand on sait que si les boissons alcoolisées sont légalement interdites en Iran, il s’en consomme en fait d’énormes quantités selon un système alliant l’hypocrisie et la corruption généralisée des vertueux Gardiens de la révolution.
Certes l’hypocrisie n’est pas l’apanage des pays d’islam mais elle y prend une fantastique dimension sociologique.
Ainsi, dans tous les grands hôtels du Liban en été, la présence massive des riches Saoudiens et Koweitis venus chercher la fraîcheur de la montagne, explique-t-elle l’énorme consommation, en cette période, de champagnes, whiskys et vodkas.Il en est de même, on le sait, dans les grands palaces européens, et dans les grands hôtels des casinos.
Quant à la lapidation légale des femmes adultères ( justifiée par les frères Ramadan ) elle va de pair en pays chiites avec la pratique du mariage dit « temporaire » accordé moyennant « backchich » par le mollah du quartier, permettant ainsi une rencontre sans danger.
Nous ne sommes donc pas de ceux qui ont fêté à l’ambassade d’Iran le trentième anniversaire de la sanglante révolution iranienne. On lira sur ce point dans le prochain numéro de Reconquête l’entretien de Cécile Montmirail avec notre ami Houchang Nahavandi, ancien ministre du Shah d’Iran.