Nicolas Sarkozy, un capitaine déboussolé à la tête d’un bateau ivre.
Nicolas Sarkozy, pris dans une sorte d’activisme non seulement fébrile mais de plus en plus pathologique, se porte chaque jour, sur trois ou quatre terrains d’action, délaissant gravement la détente salutaire que pourrait lui procurer plus souvent sa douce épouse Carla.
Mais, pris dans tous les engrenages de la vie politique et sociale sans avoir pris la peine de réfléchir aux véritables causes de la dislocation de la France, il se laisse emporter dans les convulsions d’une sorte de frénésie de distribution des euros par milliards creusant ainsi encore les déficits publics qui entraîneront autant de crises à exploiter par les camarades Besancenot, Bové et les castristes des îles.
Bien que son idéologie spontanée relève plus, à l’évidence, sur bien des plans, d’une conception libertaire et révolutionnaire de la vie en faveur du déracinement social et national, sa manière branchée, agressivement « jet set » et pro-capitaliste le fait haïr des différentes gauches du néo-lénino-trotskysme.
Il est ainsi devenue l’objet d’une dérision et d’un lynchage médiatique continu même dans les médias nationaux que trop de journalistes considèrent comme des espaces conquis et des bases de propagande anarcho-gauchistes.
On pèse là la fragilité désormais des réseaux de connivence sarkozienne. Que l’on s’en prenne à la personne de Sarkozy ne serait pas grave mais, à travers lui, c’est de l’Etat que l’on se moque et c’est aussi le peuple que l’on méprise avec tous les artifices de l’intoxication médiatique.
En définitive, ce ne sont que des réformes antifamiliales que Nicolas Sarkozy peut faire passer. Sur tout le reste, il recule. Pour mieux sauter. Qu’il saute, lui, ce ne sera pas grave mais c’est hélas la France qui chaque jour est défaite encore un peu plus.
Il n’est que temps de rassembler les énergies nationales et de créer pour cela l’outil nécessaire.
Nous en parlerons ce lundi.
Mais, pris dans tous les engrenages de la vie politique et sociale sans avoir pris la peine de réfléchir aux véritables causes de la dislocation de la France, il se laisse emporter dans les convulsions d’une sorte de frénésie de distribution des euros par milliards creusant ainsi encore les déficits publics qui entraîneront autant de crises à exploiter par les camarades Besancenot, Bové et les castristes des îles.
Bien que son idéologie spontanée relève plus, à l’évidence, sur bien des plans, d’une conception libertaire et révolutionnaire de la vie en faveur du déracinement social et national, sa manière branchée, agressivement « jet set » et pro-capitaliste le fait haïr des différentes gauches du néo-lénino-trotskysme.
Il est ainsi devenue l’objet d’une dérision et d’un lynchage médiatique continu même dans les médias nationaux que trop de journalistes considèrent comme des espaces conquis et des bases de propagande anarcho-gauchistes.
On pèse là la fragilité désormais des réseaux de connivence sarkozienne. Que l’on s’en prenne à la personne de Sarkozy ne serait pas grave mais, à travers lui, c’est de l’Etat que l’on se moque et c’est aussi le peuple que l’on méprise avec tous les artifices de l’intoxication médiatique.
En définitive, ce ne sont que des réformes antifamiliales que Nicolas Sarkozy peut faire passer. Sur tout le reste, il recule. Pour mieux sauter. Qu’il saute, lui, ce ne sera pas grave mais c’est hélas la France qui chaque jour est défaite encore un peu plus.
Il n’est que temps de rassembler les énergies nationales et de créer pour cela l’outil nécessaire.
Nous en parlerons ce lundi.