LE REFUS DE LA RECAPITALISATION DES BANQUES FRANCAISES PAR LA COMMISSION EUROPEENNE
Nous apprenons que la Commission Européenne, par l’intermédiaire de son commissaire à la Concurrence Neelie Kroes, a refusé d’accorder son aval au plan de recapitalisation de six banques par le gouvernement français : BNP-Paribas, Société Générale, Crédit Agricole, Banque populaire, Caisse d’Epargne et Crédit Mutuel, au prétexte que celles-ci sont réputées être en bonne santé.
Si l’Institut du Pays Libre n’approuve pas ce transfert de capitaux publics à des banques qui ne sont pas en situation critique, il n’en constate pas moins que ce refus exprime bien la perte de souveraineté de notre pays face à la Commission Européenne.
Ce n’est pas à celle-ci de décider des transferts de capitaux que l’Etat français doit faire.
Louis Chagnon
Vice-Président du Pays Libre
Nous apprenons que la Commission Européenne, par l’intermédiaire de son commissaire à la Concurrence Neelie Kroes, a refusé d’accorder son aval au plan de recapitalisation de six banques par le gouvernement français : BNP-Paribas, Société Générale, Crédit Agricole, Banque populaire, Caisse d’Epargne et Crédit Mutuel, au prétexte que celles-ci sont réputées être en bonne santé.
Si l’Institut du Pays Libre n’approuve pas ce transfert de capitaux publics à des banques qui ne sont pas en situation critique, il n’en constate pas moins que ce refus exprime bien la perte de souveraineté de notre pays face à la Commission Européenne.
Ce n’est pas à celle-ci de décider des transferts de capitaux que l’Etat français doit faire.
Louis Chagnon
Vice-Président du Pays Libre