
Cela constitue une nouvelle atteinte à notre mémoire nationale et une insulte supplémentaire aux harkis, aux pieds noirs, aux femmes et aux hommes morts pour que vive la France en Algérie.
A l'heure, où chaque jour nous apporte de nouvelles preuves du laxisme de la justice contre les violeurs, les casseurs ou les assassins, dans un Etat où la police est incapable de maintenir l'ordre dans les nombreuses zones de non-droit, la destrcution officielle d'une stèle en mémoire d'hommes fusillés il y a plus de 40 ans n'en est que plus scandaleuse.
Que l'ADIMAD et son président Jean-François Collin reçoivent le soutien total de Chrétienté Solidarité et de l'Institut du Pays Libre.