mercredi 25 juin 2008

De l’Egypte à l’Isère, la même intolérance islamique

Une dépêche AFP datée d’hier et reprise par le site du Figaro nous apprend qu’un père musulman, venu faire soigner sa fille dans une clinique catholique de Bourgoin-Jallieu (38), a exigé avec violence et obtenu du personnel hospitalier que soit retiré le crucifix présent dans la chambre.
Ce que le journaliste-dihmi du Figaro en ligne qualifie dans son titre de dépêche de "polémique autour d’un crucifix". Non, il n’y a pas eu de polémique autour du crucifix dans cette clinique iséroise ! Il y a simplement eu la démonstration de la haine véhiculée par l’idéologie islamique envers tout ce qui n’est pas musulman. Le personnel médical ayant assisté à la scène a vécu durant quelques minutes ce que vivent les Coptes égyptiens tous les jours depuis des années. A la différence près, que lorsque l’on demande aux Coptes de supprimer les signes de leur foi, ils se battent ! Là, les femmes et les hommes présents ont gentiment retiré le crucifix. Evidemment, la fille venant d’être opérée, ils ne pouvaient pas mettre tout le monde dehors mais les couloirs des cliniques françaises sont bien plus confortables que les chambres d’hôpitaux de certains pays du Maghreb…
La directrice de l’établissement a qualifié l’attitude du père musulman de "surprenante de la part d'une famille qui a choisi librement notre établissement ". "Quand les gens choisissent d'être soignés dans notre établissement (...) ils savent qu'ils sont dans une maternité catholique", a-t-elle ajouté. Espérons qu’à l’avenir elle saura , sans tomber sous le coup des lois anti-discrimination, faire respecter son établissement qui porte le nom de Saint Vincent de Paul. Ce grand saint qui fut prisonnier dans les bagnes de Tunis et qui a ensuite passé une partie de sa vie à sauver les esclaves enlevés par les pirates barbaresques. Prions-le pour qu’il délivre, en leur donnant un peu de courage, les nouveaux esclaves de l’islamisme.

Yann Baly