mardi 29 avril 2008

Sauvagerie au collège de Lyon

Après bien d’autres crimes et profanations de cimetières, le geste du collégien de Lyon, présenté comme « gothique » et fou de haine de Dieu, poignardant trois élèves, met encore en évidence le phénomène de la propagation inquiétante du néo-satanisme.
Comment ne pas constater que l’augmentation du nombre de ces actes déments va avec la propagation de la culture de mort de plus en plus développée par les expositions, publications et spectacles de ce que l’on appelle « l’art contemporain » ?
Ainsi de Bordeaux à Metz des pseudos artistes exposent les pires excrétions de leurs imaginations de psychopathes. Dans leurs œuvres de décréation dégouline une haine antichrétienne analogue à celle qui prépara et accompagna les grandes abominations révolutionnaires.
Ces manifestations sont financées à prix d’or par les collectivités publiques et par de vaniteux milliardaires soucieux d’être considérés comme des amateurs d’art éclairés.
Mais comment ne pas penser que les « œuvres » les plus sadiques n’impressionneraient pas des cerveaux fragiles et ne détermineraient pas des pulsions de mort et des passages à l’acte dramatiques ?
Encore une fois, en exposant comme on le voit à Metz et ailleurs toutes les transgressions et les pires crimes dont l’homme dénaturé est capable, ce n’est pas seulement aux valeurs chrétiennes que l’on s’en prend, mais véritablement, à la vie et à l’essence même de ce qu’est l’humanité.

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Dernier événement en date : « l’art contemporain » étant n’importe quoi, on peut ranger aussi sous sa rubrique l’entartage. Voici ce que vient de déclarer dans le journal « le Soir » du lundi 28 avril l’entarteur belge Noël Godin qui semble aspirer à voir désormais plutôt couler le sang que la Chantilly :
« Je me sens extrêmement proche des anarchistes de la guerre d’Espagne, qui brûlaient les églises et les couvents ».
On attend avec intérêt de savoir quelles poursuites déclenchera contre ce furieux la justice belge. Rappelons ici que plus de sept mille religieuses, religieux, prêtres et évêques furent assassinés souvent avec les pires sévices dans ces édifices.

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