Après l’arrestation du tortionnaire Jeng Sary, la nécessité d’un jugement d’ensemble du communisme s’impose.
La capture, enfin, de Jeng Sary, un des tortionnaires en chef du génocide cambodgien, met une nouvelle fois en évidence la nécessité de mettre sur pied le grand tribunal des nations chargé de procéder au jugement d’ensemble des 90 ans d’esclavage et d’exterminationnisme communiste.
Le gouvernement français s’honorerait d’une telle initiative mémorielle en constituant avec les grands historiens français du communisme une première commission d’évaluation et de mise sur pied d’un projet qui ne devrait pas, bien sûr, ressembler au Tribunal de Nuremberg pollué à jamais par la présence en son sein des criminels soviétiques qui jugeaient sans vergogne les criminels nazis.
Ce tribunal n’infligerait évidemment pas des sanctions pénales. Ceci est du ressort des Etats en position de juger des criminels encore vivants. Mais, il prononcerait les condamnations morales de mise au ban de l’humanité des régimes, des mouvements et institutions et des individus ayant participé directement à l’abomination génocidaire ou y ayant collaboré sous les diverses formes de la collaboration politique et de la justification intellectuelle.
La légitimité de la France à lancer cette immense initiative de justice à l’échelle du monde apparaît bien lorsque l’on sait combien le parti communiste français a joué un rôle dans la formation idéologique des grands exterminateurs indochinois et notamment, cambodgiens et aussi du chinois Chou En-Laï, et plus encore dans le système mondial d’encensement de Lénine, Staline, Mao et oncle Hô par nos intellectuels de gauche de réputation mondiale Aragon, Malraux et Sartre.
En cohérence avec la mise sur pied du Comité International de Contestation des Jeux Olympiques à Pékin, Chrétienté Solidarité développera toutes les initiatives possibles pour faire avancer cette exigence fondamentale de justice et de dignité humaine.
La capture, enfin, de Jeng Sary, un des tortionnaires en chef du génocide cambodgien, met une nouvelle fois en évidence la nécessité de mettre sur pied le grand tribunal des nations chargé de procéder au jugement d’ensemble des 90 ans d’esclavage et d’exterminationnisme communiste.
Le gouvernement français s’honorerait d’une telle initiative mémorielle en constituant avec les grands historiens français du communisme une première commission d’évaluation et de mise sur pied d’un projet qui ne devrait pas, bien sûr, ressembler au Tribunal de Nuremberg pollué à jamais par la présence en son sein des criminels soviétiques qui jugeaient sans vergogne les criminels nazis.
Ce tribunal n’infligerait évidemment pas des sanctions pénales. Ceci est du ressort des Etats en position de juger des criminels encore vivants. Mais, il prononcerait les condamnations morales de mise au ban de l’humanité des régimes, des mouvements et institutions et des individus ayant participé directement à l’abomination génocidaire ou y ayant collaboré sous les diverses formes de la collaboration politique et de la justification intellectuelle.
La légitimité de la France à lancer cette immense initiative de justice à l’échelle du monde apparaît bien lorsque l’on sait combien le parti communiste français a joué un rôle dans la formation idéologique des grands exterminateurs indochinois et notamment, cambodgiens et aussi du chinois Chou En-Laï, et plus encore dans le système mondial d’encensement de Lénine, Staline, Mao et oncle Hô par nos intellectuels de gauche de réputation mondiale Aragon, Malraux et Sartre.
En cohérence avec la mise sur pied du Comité International de Contestation des Jeux Olympiques à Pékin, Chrétienté Solidarité développera toutes les initiatives possibles pour faire avancer cette exigence fondamentale de justice et de dignité humaine.