Le discours d'adieu de Jacques Chirac à la présidence de la République a été, selon son usage constant, à la fois grandiloquent et médiocre. il a été celui du maçonniquement correct.
Il a prétendu avoir restauré la laïcité. Sans doute n'était-elle point, selon lui, suffisamment respectée sous son prédecesseur, François Mitterrand?
Mais surtout, il y a ce qu'il n'a pas dit. Jamais au long de sa vie politique, Jacques Chirac n'a dénoncé la plus grande abomination de l'Histoire avec ses génocides sans fin: le communisme.
L'Histoire fera apparaître qu'il aura été, tout au long de sa carrière, un compagnon de route du communisme.
Il a prétendu avoir restauré la laïcité. Sans doute n'était-elle point, selon lui, suffisamment respectée sous son prédecesseur, François Mitterrand?
Mais surtout, il y a ce qu'il n'a pas dit. Jamais au long de sa vie politique, Jacques Chirac n'a dénoncé la plus grande abomination de l'Histoire avec ses génocides sans fin: le communisme.
L'Histoire fera apparaître qu'il aura été, tout au long de sa carrière, un compagnon de route du communisme.