Selon nos informations, ce que l’on n’a pas dit, c’est que les agresseurs, qui ne sont pas des coupeurs de cheveux en quatre, mais de sales voyous, évoqueraient pour leur défense, l’exemple de la Libération où l’on tondait, avant de les lyncher, les malheureuses qui avaient eu quelques tendresses pour de séduisants guerriers germaniques.
Les auteurs des sévices ne furent pas en effet à l’époque condamnés.