Un journaliste de l’Agence Reuters cite vendredi 29 septembre le « ralliement à Philippe de Villiers en 2005 de Bernard Antony, figure d’extrême-droite ». Ceci est totalement faux.
D’abord je ne me reconnais nullement dans le qualificatif « d’extrême-droite », me considérant sur la plupart des questions politiques à égale distance des extrémismes, jacobins ou autonomistes, socialistes ou libéraux, sionistes ou antisémites.
Je suis simplement pour l’essentiel catholique en religion, défenseur de la morale judéo-chrétienne du Décalogue et de la culture de vie, partisan de la souveraineté de mon pays dans une Europe des pactes, défenseurs de la liberté de recherche, de pensée et d’expression dans le respect de Dieu, des personnes et de la dignité de la nature humaine.
Sur le plan politique j’ai été attristé d’être de facto exclu sans débat du Front National dont je défends toujours les valeurs fondamentales du programme élaboré pour son congrès de Nice.
Pour autant je n’ai pas rallié le mouvement de Monsieur de Villiers avec qui je n’ai pas constaté suffisamment de convergences. Son parti me parait à vrai dire surtout celui de son secrétaire général, Guillaume Peltier, locomotive et tête peut-être pensante mais pas toujours très bien...
Je ne conseille pas à mes amis de rejoindre le tandem Peltier-Villiers.
Pour ce qui est des élections présidentielles, je n’en parlerai qu’après avoir enregistré les positions des candidats sur les exigences fondamentales d’un programme de salut national